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Il avait été décidée que le samedi serait consacrée à la découverte de la perle de la culture suédoise, que d’aucun qualifie de dixième merveille du monde (la huitième étant la cuisine guatémaltèque et la neuvième la petite culotte de Paris Hilton, allez savoir pourquoi), j’ai nommé la chips.
Loin de moi l’idée de vous infliger un exposé interminable sur les vertus, bienfaits et autres particularités de cette fine membrane de pomme de terre délicatement grillée qui se consomme habituellement en apéritifs, au cours de pique nique sur les bords d’autoroutes bondées un 14 juillet ou lors de cocktails d’entreprise de seconde zone. Non, nous sommes ici pour discuter de l’autre chips, celle qui blonde et généreuse se balade en grand nombre dans les rues de Stockholm.
Trèves de bavardage, allons tout de suite à l’essentiel. Une seule recommandation, évitez de baver sur votre clavier, ce n’est pas très sympa pour ceux qui l’utilise après.
Loin de moi l’idée de vous infliger un exposé interminable sur les vertus, bienfaits et autres particularités de cette fine membrane de pomme de terre délicatement grillée qui se consomme habituellement en apéritifs, au cours de pique nique sur les bords d’autoroutes bondées un 14 juillet ou lors de cocktails d’entreprise de seconde zone. Non, nous sommes ici pour discuter de l’autre chips, celle qui blonde et généreuse se balade en grand nombre dans les rues de Stockholm.
Trèves de bavardage, allons tout de suite à l’essentiel. Une seule recommandation, évitez de baver sur votre clavier, ce n’est pas très sympa pour ceux qui l’utilise après.
Au bout d’un certain temps, vous êtes un peu anesthésié, voire fatigué oculairement, voire après quelques heures presque blasé, de toutes ces blondes, brunes, rousses de tous âges (ici même les mamans sont très attirantes) outrageusement magnifiques, tout droit sorties d’un magazine de mode. Parfois, pour changer un peu, vous tombez au détour d’une rue sur des choses improbables, comme un défilé de brésiliennes (qui se révèle en fait tout à fait suédoises mais bon, là, on s’en fout complètement d’où elles peuvent bien venir). Là c’est la rupture d’anévrisme.
Après ce moment de détente fort appréciable (vous en conviendrez aisément), un peu de culture et d’histoire. Tout du moins, voici quelques photos de Stockholm pour vous donner une idée de la beauté de cette ville.
Mais heureusement, pour compenser, il y a des quartiers bien moches, illustrés par une photo bien moche elle aussi.
Le soir, on a quand même retenté de sortir en boite avec quelques étrangers de l'université de Stockholm. Résultat: refoulement en règle 3 fois de suite (- 26 ans, - 23 ans, totalement ignoré par le videur). Antoine a failli se battre avec un videur qui lui marchait sur les pieds en lui postillonant au visage, ce qui aurait pu faire de l'animation au pays du caribou homosexuel. Finalement, on a trouvé un endroit pas cher et bien bien sympa, peuplé de demoiselles désinibées et de gros relous bien marrant. Une bonne soirée, qui mérite amplement un 7,5/10 (un 10/10 aurait été obtenu en cas de baston avec le videur, dommage). J'ai également pu renouer avec mon amour immodéré de la Red Bull Vodka.
Pour ceux qui n'en auraient pas eu assez, et qui veulent apprécier la faune noctambule que nous avons pu cotoyer, ou bien pour les simples pervers, allez faire un tour sur le site de la boite le Crazy Horse, rubrique "Vimmel". Ames (ne serait ce qu'un peu) sensible, s'abstenir.
0 Responses to “Samedi 3 Septembre”
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